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jeudi 4 mai 2017

Complément Denquête 11 juin 2015 François Pape des pauvres, Vatican des riches


Qui est le pape François ?


Premier Pape venu "du bout du monde", qui est vraiment ce jésuite de 76 ans, devenu, en quelques jours, la vedette de la presse mondiale? Quelle a été sa vie ? Quelle est sa façon de penser... et d'agir ? En remontant à ces années troubles où l'Argentine, comme toute l'Amérique Latine, était en proie à la guérilla, et aux coups d'état militaires, ou la Théologie de la Libération s'est fourvoyée dans le soutien a la lutte armée, ce film montre l'attitude courageuse du jésuite Bergoglio. Attitude qui lui a valu la confiance du Pape Jean Paul II et son élévation à l'épiscopat, pour devenir ensuite archevêque et Cardinal. Des commentaires d'évêques, de professeurs, de journalistes et des provinciaux des jésuites d'Espagne et d'Argentine, donnent des points de vue très variés sur le parcours et la pensée du cardinal Bergoglio, qui aident à mieux percevoir ce qui habite la réflexion du Pape François.

Conférence de presse du Pape François de retour d'Egypte

Voyage apostolique du Pape François en Egypte les 28 et 29 avril 2017. Envoyée spéciale pour KTO : Philippine de Saint Pierre. Le Pape François en Egypte du 30/04/2017.

mercredi 3 mai 2017

une vie comme le veux jesus


L'animisme est la doctrine philosophique qui professe que la vie est causée dans les êtres vivants par une âme et que dans l'humain en particulier cette âme, principe de la vie, n'est pas distincte du principe de la pensée. Ainsi, non seulement l'animisme suppose que le mécanisme, les mouvements de la matière, ne suffisent pas a expliquer la vie, non seulement il va chercher au-delà des organes une force métaphysique pour expliquer l'organisme, mais il veut encore identifier cette force métaphysique, principe de la vie, à la force métaphysique principe de la pensée, le principe vital à l'âme pensante. On voit donc que l'animisme doit d'abord réfuter le mécanisme, puis l'organicisme, puis le vitalisme pour s'établir sans 
mais en jésus  Sur une aire semi-circulaire, couverte de grandes dalles de pierre, les trois croix du calvaire, alignées côte à côte, font face à la collégiale Notre-Dame-d’Espérance. La croix du Christ est plus haute, son socle plus volumineux que les deux autres. Au pied de la croix du Christ, sont figurés un cœur, et les instruments de la passion : trois clous, un marteau, une tenaille et une éponge. Les regards des deux larrons, de taille humaine, sont tournés vers le Christ.

samedi 1 novembre 2014

AFRIQUE/EGYPTE - Prise de position du Patriarche copte orthodoxe en matière de pèlerinages à Jérusalem

Moscou – La position de l’Eglise copte orthodoxe à propos des pèlerinages de fidèles égyptiens à Jérusalem « demeure inchangée » par rapport à ce qui avait été établi par le précédent Patriarche, Shenuda III. L’indication de ne pas visiter la Cité Sainte demeure donc en vigueur et ne cessera que lorsque pourront entrer librement à Jérusalem également les « frères musulmans » de la nation égyptienne. C’est ainsi que s’est exprimé le Patriarche copte orthodoxe Tawadros II dans le cadre d’une réception offerte en son honneur le 30 octobre au soir à l’Ambassade d’Egypte à Moscou, à l’occasion de la visite que le Patriarche effectue actuellement en Russie.
Ainsi que l’indiquent des sources égyptiennes consultées par l’Agence Fides, Tawadros II a également fait part, à cette même occasion, de sa satisfaction s’agissant du réseau de contacts et de collaborations croissantes entre les Eglises présentes en Egypte et l’Université sunnite d’Al-Azar.Au cours des années de la radicalisation du conflit israélo-arabe, le Patriarche copte orthodoxe Shenuda III avait interdit aux fidèles de son Eglise de se rendre en pèlerinage dans l’Etat hébreu, sa position n’ayant pas changé même après la normalisation des rapports entre l’Egypte et Israël. Aujourd’hui encore, l’interdiction n’a pas été formellement levée par le Patriarche Tawadros II, même si nombreux sont ceux qui en soulignent le caractère anachronique, dans le cadre des rapports existant entre les deux nations limitrophes. En avril dernier, un groupe de chrétiens égyptiens s’était cependant rendu en pèlerinage à Jérusalem, visitant les Lieux Saints .
Les rapports entre Israël et l’Eglise copte orthodoxe sont par ailleurs compliqués par le choix de l’administration israélienne de continuer à tolérer l’occupation de chapelles et de lieux coptes de Jérusalem de la part de moines de l’Eglise orthodoxe éthiopienne, unie pendant des siècles à l’Eglise copte orthodoxe mais devenue autocéphale en 1959.Le 29 octobre, au cours de sa visite en Russie – la première d’un Patriarche copte orthodoxe – Tawadros II a rencontré le Patriarche orthodoxe de Moscou, Cyril. Au cours de la rencontre a notamment été établie la création d’une Commission bilatérale chargée de favoriser la collaboration spirituelle et pastorale entre les deux Eglises.

Un nouveau patriarche pour l'Eglise syro-orthodoxe

                                                           
       (RV) L'Eglise syro-orthodoxe a élu son 23ème patriarche, il s'agit de Cyril Aphrem Karim, qui remplace Ignatius Zakka I Iwas, décédé le 21 mars dernier à 81 ans. Son titre officiel est patriarche d'Antioche et de tout l'Orient. Né en Syrie, âgé de 48 ans, il était jusqu'à présent l'archevêque oriental des Etats-Unis. Il prendra le nom de Mor Ignatius Aphrem II.

L'élection s'est tenue au siège de l'Eglise syro-orthodoxe à Atshaneh, au Liban. Cette Eglise est l'une des communautés chrétiennes d'Orient les plus anciennes. Elle compte 4 millions de fidèles qui vivent en Syrie, au Liban et en Irak. La communauté syro-orthodoxe est également présente en Allemagne, en Suède et aux Etats-Unis.

Dossier : en Israël, les juifs ultra-orthodoxes devront faire leur service militaire, comme les autres

                                 
En Israël, c’est une première depuis 1948, les juifs ultra-orthodoxes doivent à nouveau effectuer leur service militaire. La loi qui les en exemptait a en effet expiré, suite à une décision de la Cour suprême israélienne. Le ministre de la défense, Ehud Barak, a donné un mois à l’armée pour tenter de trouver une solution, afin d’enrôler les orthodoxes progressivement. Car eux refusent obstinément de rejoindre l’armée. Un privilège très mal compris par le reste de la population israélienne.

Le sujet est devenu un débat brulant dans le pays.
Pourquoi ? Comment régler le problème ? Et que dire de l’importance croissante prise par les juifs ultra-orthodoxes dans le pays ?L’analyse de Fréderic Encel, professeur à sciences Po Paris, et spécialiste du Moyen Orient 
Propos recueillis par Justine Vassogne