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lundi 20 janvier 2014

la paroisse saint barthelemy de logbessou


la paroisse saint Barthélemy de logbessou cet paroisse invite toutes personnes de bonne moralité et des personnes de bonne foi de venir massivement a la paroisse rencontre le cure de la paroisse pour fait donc pour la construction de la paroisse qui est encore en chantier veillez bien suivre la vidéo – à Douala au Cameroun.

DELEGATION OECUMENIQUE FINNOISE ET UNITE DES CHRETIENS

Cité du Vatican, 17 janvier 2014 (VIS). A l'occasion de la saint Henri d'Uppsala, patron de la Finlande, le Saint-Père a reçu la délégation oecuménique luthérienne qui vient depuis vingt cinq ans en pèlerinage annuel à Rome: Aux chrétiens divisés de Corinthe, a-t-il dit à ses hôtes, Paul demanda si on pouvait diviser le Christ. Cette question, qui est le thème de la semaine de prière pour l'unité qui s'ouvre demain, reste valable pour nous tous: "Face à certains qui estiment que l'objectif de la pleine et visible unité de l'Eglise n'est pas atteignable, nous sommes invités à accentuer notre effort oecuménique, en fidélité au Christ qui a prié le Père afin que nous ne fassions qu'un". L'évolution que connaissent le parcours oecuménique et les relations entre chrétiens "sont d'abord dues au fait que nous devons professer notre foi dans une société et dans des cultures où la référence à Dieu et à la dimension transcendantale de la vie s'étiole. C'est tout particulièrement vrai en Europe, mais pas uniquement". C'est pourquoi nous devons nous cooncentrer "sur le coeur de la foi, sur l'annonce de l'amour de Dieu manifesté dans le Fils. Trouvons donc de nouveaux espaces pour accroître notre communion et grandir dans l'unité partagée. Développons l'oecuménisme spirituel qui découle naturellement du commandement de l'amour laissé par Jésus à ses disciples". Vatican II a parlé de cette conversion du coeur, de la sainteté de vie, de la place de la prière personnelle comme collective, nécessaires à l'âme du mouvement oecuménique. L'oecuménisme, a souligné le Pape, est "un processus spirituel qui se réalise dans l'obéissance au Dieu, sans l'accomplissement de la volonté du Christ sous la conduite de l'Esprit... Nous ne devons pas cesser de demander l'assistance de la grâce divine et l'illumination de l'Esprit Saint qui introduisent dans la vérité totale, porteuse de réconciliation et de communion".

lundi 13 janvier 2014

LE PAPE RENCONTRE SES GENTILSHOMMES


Cité du Vatican, 10 janvier 2014 (VIS). Le Pape François a accueilli les gentilshommes de Sa Sainteté, un corps constitué par Paul VI en 1968 par des laïcs honorés pour leur action en faveur de l'Eglise. Succédant aux camériers secrets et aux camériers d'honneur, appartenant avec le Commandant de la Garde Suisse à la Famille pontificale laïque, ils assurent le service protocolaire lors des visites de chefs d'état et de gouvernement: Vous garantissez, a-t-il dit à ses hôtes, accompagnés de leurs familles, aux hautes personnalité en visite au Vatican le premier contact avec cette maison. Comme l'indique votre titre, vous êtes chargés de mettre à leur aise ces visiteurs de marque. L'amabilité dont vous faite preuve à leur égard s'enracine dans une vie de foi et de cohérence évangélique qui ne saurait composer avec la mondanité. Dans l'esprit de Noël, a conclu le Saint-Père, "nous devons rester vigilants et prier afin que la lumière qui nous habite ne s'éteigne pas, afin que nous sachions la manifester dans notre existence quotidienne, familiale comme professionnelle, afin que la joie de la foi s'exprime dans la charité, la bienfaisance et l'attention aux autres.

vendredi 10 janvier 2014

CHAPITRE GENERAL DES LEGIONNAIRES DU CHRIST


Cité du Vatican, 9 janvier 2014 (VIS). Hier à Rome, le Cardinal Velasio De Paolis, CS, Délégué pontifical pour les Légionnaires du Christ a célébré une messe pour l'ouverture du chapitre général extraordinaire de cette congrégation, elle même précédée par une neuvaine de prière des pères capitulaires en retraite spirituelle. Après trois années et demi de rénovation depuis sa nomination par Benoît XVI, le Cardinal préside ces assises destinées à désigner le nouveau gouvernement et à approuver les nouvelles constitutions de la Légion. A l'homélie il a dit que cela ne pouvait se limiter à un travail technique et que ce chapitre devait s'accompagner pour chacun d'un examen de vie, d'un engagement au renouveau spirituel personnel et collectif. Les nouvelles constitutions ne doivent donc pas se limiter à un code juridique et disciplinaire mais être l'expression d'une vocation, d'un idéal et d'une vision commune, d'un chemin de sainteté commun. Puis il a rappelé que le premier devoir des nouveaux supérieurs sera de défendre et diffuser le charisme de la congrégation, et qu'ils devront la guider dans un esprit évangélique et en fidélité avec les règles de l'Eglise. Sans oublier le passé de souffrance, c'est sur ce chapitre que le nouveau texte porte une attention particulière. Le Cardinal De Paolis a alors évoqué la préparation de ces assises du renouveau, invitant les Légionnaires à placer leur espérance dans le Seigneur qui a sauvegardé leur vocation et qui les a préparé à envisager un nouvel horizon. Rappelant le soutien de Benoît XVI et aujourd'hui du Pape François dans une période tragique de la congrégation, il a exprimé sa confiance dans l'esprit de renouveau et de fidélité au Seigneur des Légionnaires: "Vous avez beaucoup souffert, connu la honte d'être accusés ou suspectés, soumis au jugement de l'opinion publique, y compris au sein de l'Eglise. Vous avez su accepter l'épreuve par amour de la vocation, de l'Eglise et de la congrégation. Elle vous a purifiés et affermis car vous avez fait l'expérience de la grâce et de l'amour du Seigneur, qui vous a appelés à prendre part au mystère" de la croix et de la rédemption. "Vous avez partagé la souffrance des victimes de certains membres de la Légion et choisi la seule voie évangélique pour la rédemption du mal. Vous n'avez pas fui, ni rejeté ni condamné l'autre. Vous avez suivi la voie de la participation et de la solidarité, celle de l'amour qui entre dans le péché et la souffrance pour les racheter de l'intérieur".

jeudi 9 janvier 2014

LETTRE AUX COMMUNAUTES DE BASE BRESILIENNES


Cit
é du Vatican, 8 janvier 2014 (VIS). Le 17 décembre dernier, en vue de la 13 réunion inter-ecclésiale des communautés de base (Juazeiro do Norte, Brésil, 7 -11 janvier: "Justice et prophétie au service de la vie"), le Saint-Père a adressé une lettre aux participants: J'espère, écrit-il que "la lumière de l'Esprit vous aide à vivre dans l'enthousiasme vos engagements évangéliques au sein de la société brésilienne". Evoquant le Document d'Aparecida, il y rappelle que les CEB sont une fraternité engagée à favoriser une meilleure connaissance de la Parole, un engagement social au nom de l'Evangile et de nouveaux services laïques pour l'éducation des adultes à la foi". Ces communautés doivent vivre "un nouvel élan évangélique et être capables de dialoguer avec tout ce qui rénove le tissu ecclésial... Pour ce il ne faut pas perdre le contact avec la riche réalité des paroisses et s'insérer dans la pastorale des différents diocèses". L'évangélisation est le fait de toute l'Eglise, du peuple de Dieu dans son ensemble: "Nous devons tous être des pèlerins, en ville comme à la campagne, porteurs de l'Evangile". Et de rappeler la mise en garde de saint Paul: Malheur à moi si je ne prêchais pas l'Evangile!

LE BAPTEME N'EST PAS UNE FORMALITE


Cité du Vatican, 8 janvier 2014 (VIS). Le Pape François a consacré la catéchèse de sa première audience générale de l'année, tenue ce matin Place St.Pierre, à une réflexion sur les sacrements, et en particulier sur le baptême (dans la perspective de la fête du Baptême du Seigneur). Il est, a-t-il dit, "le fondement de notre foi. Il fait de nous des membres du Christ et de son Eglise. Avec l'Eucharistie et la confirmation, ce sacrement constitue l'initiation chrétienne, qui est la séquence sacramentelle unique nous configurant au Seigneur et faisant de nous des signes vivants de sa présence et de son amour... Le baptême est-il vraiment nécessaire pour vivre en chrétien et suivre Jésus? N'est ce pas en somme qu'un simple rite de l'Eglise destiné à donner un nom à un nouveau né? Rappelons alors ce que disait Paul: Baptisés dans le Christ Jésus, nous avons été baptisés dans sa mort et ensevelis avec lui dans la mort. Comme le Christ est ressuscité des morts de par la gloire du Père, nous pourrons vivre une vie nouvelle. Le baptême n'est donc pas une formalité mais un acte qui marque en profondeur notre existence en nous plongeant dans la source infinie de la vie qu'est la mort de Jésus, le plus grand acte d'amour de l'histoire. Un enfant ou un adulte non baptisé n'est pas comme un enfant ou un adulte baptisé. Grâce à cet amour nous vivons une vie nouvelle libérée du mal, du péché et de la mort, en communion avec Dieu et nos frères... Il existe le risque de perdre cette conscience de ce que Dieu a fait pour nous, du don reçu de lui. Ainsi finit-on par considérer notre baptême comme un évènement du passé, résultant de la volonté de nos seuls parents et sans incidence sur notre existence présente". Renouvelant son conseil à nous souvenir de la date de notre baptême, le Saint-Père a affirmé que les fidèles sont tous "appelés à le vivre chaque jour... Si malgré nos limites et nos manquements nous réussissons à demeurer dans l'Eglise, c'est grâce à ce sacrement qui a fait de nous des créatures nouvelles revêtues du Christ. Libérés par le baptême du péché originel, nous sommes mis en relation avec le Fils et le Père...capables de pardonner et d'aimer qui nous fait du mal, capables de reconnaître dans les pauvres le visage du Seigneur venu parmi nous. Porteurs d'une espérance nouvelle, nous pouvons avancer sur la voie du salut. Grâce au baptême nous savons pardonner". En conclusion il a affirmé que "personne ne peut se baptiser soi même. Nous pouvons désirer et demander le baptême mais avons besoin de quelqu'un pour le recevoir au nom du Seigneur. Au long de l'histoire s'est constituée une chaîne de grâce de baptême en baptême, un chaîne de fraternité et d'affiliation à l'Eglise" car ce sacrement "est un don accordé dans un contexte de partage et de sollicitude. Dans sa célébration transparaissent les traits les plus authentiques de l'Eglise qui, comme mère, ne cesse de générer des nouveaux enfants dans le Christ par la fécondité de l'Esprit". Après la catéchèse et parmi les multiples saluts, il a encouragé un cirque qui part en tournée en Amérique latine, invitant ses membres à rester des messagers de joie et de fraternité dans une société en manque.

lundi 6 janvier 2014

EN DIEU RESIDE LA PROFONDEUR DE LA FOI

Cité du Vatican, 3 janvier 2014 (VIS). Ce matin, le Pape a célébré la messe de la fête du Saint Nom de Jésus en l'Eglise du Gesù, en action de grâce à l'inscription au sanctoral du jésuite Pierre Favre. Il était notamment entouré du Cardinal Préfet de la Congrégation pour les causes des saints, du Cardinal Vicaire de Rome, de Mgr.Luis Franc
isco Ladaria Ferrer, SJ, Secrétaire de la Congrégation pour la doctrine de la foi, de Mgr.Yves Boivineau, Evêque d'Annecy (France), et du P.Adolfo Nicolás, SJ, Préposé Général de la Compagnie de Jésus. Originaire de Savoie, le nouveau saint (17 décembre dernier), fut un des sept compagnons d'Ignace de Loyola fondateur de la compagnie et son premier prêtre. Celui qu'on a surnommé le second jésuite repose lui aussi en cette église de Rome. L'homélie a été consacrée à l'évocation de Pierre Favre, un homme inquiet mais rempli de grands projets:
Pour trouver Dieu, a dit le Saint-Père, "il faut le chercher, et l'avoir trouvé pour le chercher encore et encore. C'est cette inquiétude apostolique du jésuite qui nous pousse à évangéliser sans relâche, à voix haute, avec courage. C'est elle qui nous prépare à la fécondité apostolique, car sans elle on reste stérile". L'inquiétude de Pierre Favre, ses grands élans, en firent un nouveau Daniel: "Homme modeste et sensible, à la vie intérieure profonde, il était doté du don de l'amitié avec les personnes les plus diverses. Il était néanmoins un esprit inquiet, indécis et insatisfait. Sous la conduite de saint Ignace il a appris à allier sa grande sensibilité avec la capacité à prendre des décisions. Ayant ainsi pris en charge ses élans après les avoir identifiés, Pierre Favre manifesta dans les difficultés son véritable esprit d'action. Or la foi vraie implique un profond désir de changer le monde. Nous devons donc nous demander si nous possédons nous aussi cette vision et cet élan. Sommes nous audacieux? Avons nous de grands projets? Ou bien contentons nous de la médiocrité, d'un projet apostolique de laboratoire? La force de l'Eglise n'est pas en elle. Elle ne réside pas dans ses capacités d'organisation mais se cache dans la profondeur de Dieu. Si les eaux profondes de Dieu agitent nos projets, alors comme le disait saint Augustin il faut prier pour vouloir et vouloir pour ouvrir notre coeur. Il en fut ainsi pour Pierre Favre, qui fut capable de reconnaître la voix de Dieu, d'autant que sans ces élans on ne va nulle part. C'est pour cela qu'on doit offrir au Seigneur nos projets".
Les constitutions de la Compagnie indiquent qu'on aide autrui en présentant à Dieu nos propos. Pierre Favre, a poursuivi le Pape François, "avait le profond désir d'être dilaté en Dieu et c'est en ayant Dieu pour centre qu'en esprit d'obéissance il arpenta l'Europe pour engager avec douceur le dialogue avec tous, tout en annonçant l'Evangile. Je pense à la tentation qui existe de lier l'annonce évangélique avec le matraquage idéologique, l'esprit inquisitorial et la condamnation. Non, l'Evangile ne s'annonce pas ainsi, mais avec douceur, fraternité et amour. La familiarité de Pierre Favre avec Dieu lui permettait de comprendre que son expérience intérieure et la vie apostolique vont de pair. Il a écrit que le premier mouvement du coeur est de désirer ce qui est originel et essentiel, c'est à dire de laisser la première place à la sollicitude dans la recherche de Dieu. Il laissa le Christ occuper son coeur car ce n'est que centré sur lui qu'on peut aller vers les périphéries du monde. Ainsi Pierre Favre a-t-il voyagé sans relâche jusqu'aux frontières géographiques de son temps. On a dit de lui qu'il semblait né pour ne demeurer fixe nulle part. Il était dévoré par le voeu de communiquer avec Dieu et nous devons avoir le même désir. Pour cela, il faut prier en silence, avec ferveur, et demander au Seigneur par l'intercession de notre frère Pierre Favre d'être à nouveau illuminés par les" folies apostoliques qui caractérisèrent sa vie.